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Allons, ne rêvons pas : nous sommes dans le courrier des lecteurs de Spirou... en 1976 !
Jean-Christophe Menu aime bien jouer les gros durs dans ses Éprouvettes et autres Plates-Bandes, mais je suis sûr que tout au fond de lui-même, il a su garder une partie de son âme d'enfant...
Spirou n° 1971, 22-1-1976, Dupuis
7 commentaires:
Ah mais il l'a avoué,par ailleurs(cf.CBD)avoir(eu)du mal à se séparer de ses RIC HOCHET,LES PETITS HOMMES.Il assimilait d'ailleurs cette collectionnite à une maladie(pas faux):Le besoin d'avoir tous les numéros de telle ou telle série sans fin.Il a tenté plus d'une fois d'etre publié dans LA CUISINE EST A VOUS.En vain.Le début de ses convictions?J'aime bien son intransigence.
Ahhh, les Déboussolés. C'est avec cette période que j'ai lu intensivement Spirou.
à Julien : il n'a pas complètement tort, mais être attaché à ses albums d'enfance ne signifie pas avoir besoin de tout posséder, on peut s'ouvrir à d'autres lectures sans forcément renier ses premières amours, parfois contrariées... J'aime bien sa phrase juste avant : "Carte Blanche : tu as eu une bonne idée pour faire un peu connaître les amateurs" !
à Li-An : Aaaaah, Les Déboussolés, Les Indésirables, Les Innommables, Pauvre Lampil... Et on se demande pourquoi je suis si souvent négatif !
Belle pioche ! Les goûts de Jean-Chritophe Menu ont changé, mais il a bien gardé son ton péremptoire.
"La couverture de Seron, excellent !". WAF WAF !
hum, hum, y en a qui ont pas lu comix club, hum hum...
Damned, je suis fait !
à David : c'est réparé.
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