Je savais que ce peintre de la "petite Histoire", ce "re-créateur de Mondes" n'avait pas inspiré que les auteurs de neuvième art, mais également les réalisateurs du septième, mais je suis tombé des nues en découvrant à quel point ce pompier avait été pompé par le cinématographe (certaines scènes de Quo vadis et de Julius Caesar sont littéralement décalquées sur ses tableaux) !
J'ai bien ri, enfin, devant le fox-terrier kitchissime (O-Pti-Chien), "pré-dadaïste", clôturant avec humour cette intéressante exposition.
Mais alors, un truc auquel je ne m'attendais pas du tout, c'était d'y croiser Brüno, visiblement en pleine période Orientaliste !
Fort Téhem (Commando colonial t.3, p.19)
Dargaud, 2010
De gauche à droite (si les images s'affichent correctement sur votre écran) : Les Baigneuses de Jean-Léon Gérôme, Le Bain turc de Jean-Auguste-Dominique Ingres (que l'on retrouve sur la page d'accueil du blogue de Brüno) pour le bonnet de bain et L'Indolence de Frederick Arthur Bridgman (Je n'ai pas trouvé de quel tableau était inspirée la case du milieu.)
Ah, les mystères de l'Orient...
2 commentaires:
Je serais Hergé, je serais passablement vexé.
On parle beaucoup de Brüno sur ce blog. Elle finit quand cette expo que je vais louper ?
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