mardi 27 juillet 2010

Adieu, Monde cruel

Jojo,
André Geerts
in Spirou 2417,
Dupuis, 1984


Six pieds sous terre Jojo, tu n'es pas mort
Six pieds sous terre, on t'aime encore.

2 commentaires:

Julien a dit…

Deux histoires courtes m'avaient longtemps troublé:Un cauchemar où Gros-Louis vieillissait plus vite que nature;une autre où Mamy expliquait le "Futur" à Jojo et Gros-Louis..."On opère Gros-Louis"possédait des sentiments et des épisodes de vie autobiographiques..."Il va nous manquer";la phrase la plus convenue n'a jamais connu des accents aussi sincères et douloureux concernant André Geerts.Je n'aime pas la mort;à mon age je ne l'ai toujours pas tolérée,acceptée et comprise.Il n'y a rien "dans l'ordre des choses" quand on a 54 ans.Ramasser du bois mort;quelle belle page as-tu choisi Totoche!..

david t a dit…

très beau choix de page en effet. geerts nous manquera.