Plaisir des yeux.
Je viens de retrouvr ces deux "flyers" au fond d'un carton. Ce petit échange de série entre Crespin et Sorel nous prouve que les publicitaires peuvent quand même avoir de jolies idées, parfois, non ? Cela dit, pas sûr que cette campagne ait fait vendre des palettes d'albums chez Vents d'Ouest...
J'avoue n'avoir jamais lu Troubadour de feu Michel Crespin, prématurément disparu en 2001.
Quant à L'Île des Morts, de Guillaume Sorel et Thomas Mosdi, je n'en suis jamais venu à bout, c'est surtout Mme Totoche qui en est fan et qui me fis d'ailleurs découvrir le peintre symbolique suisse alémanique Arnold Böcklin (expo au Musée d'Orsay en 2001-2002) et sa série de cinq tableaux, peints entre 1880 et 1886, qui inspirèrent cette bande dessinée.
3 commentaires:
Merci Totoche d'exhumer un peu(mais bien)de Michel Crespin.Je doute que les "voeux chers"d'éditeurs aboutissent:Les albums de Crespin ont peu à peu disparus...
J'ai bien aimé, moi aussi, les albums de Michel Crespin, dans le temps. J'avais toutefois abandonné lors de la sortie de Troubadour.
Sorel, par contre, je n'ai jamais réussi à lire un album jusqu'au bout (oooops !)
J'ai lu le premier Île des morts pour de mauvaises raisons et j'avais trouvé ça assez mal fichu. Mais Sorel a fait de beaux progrès depuis.
Crespin c'était élégant mais un peu trop "photo" pour moi.
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